Cette faille a été officialisée en février de l’année courante, portant ainsi atteinte à 99% des mobiles sous sytème Androïd 1.6 et plus. Ceci dit, un hacker pourrait bel et bien introduire dans une application reconnue comme légitime par Androïd un malware lui offrant le loisir de surfer dans les données d’un téléphone sans que son propriétaire ne s’en rende compte. Espérant que Google et Android réagissent vite pour fixer cette discordance.